La photographe Luciana Cristhovam s'y est rendue en 2005, lorsqu'il était encore possible de voir les peintures et les phrases laissées par les prisonniers dans leurs minuscules cellules.
Voir également: Covid-19 contre le tabagisme : les rayons X comparent les effets des deux maladies sur les poumonsLe registre a été réalisé dans le pavillon 9, avant sa démolition totale. Certains prisonniers font des remarques longues et sincères - Beaucoup d'entre elles traitent de la nostalgie et de la liberté, d'autres montrent leur le talent sur les murs Les photos de Luciana Cristhovam permettent également de se rendre compte de la taille de certaines cellules et de certains couloirs.
Voir également: Un garçon brésilien qui "psychographie" ses calculs est un génie absolu des mathématiquesL'ensemble des images partagées par la photographe sur sa page Facebook vaut le détour.