Tout en étudiant le design, Gerard Rubio L'expérience de la création d'imprimantes 3D lui a donné une inspiration : et s'il existait une machine à tricoter automatique ?
Gérard s'est consacré au projet pendant quatre ans, créant plusieurs prototypes du Kniterate (anciennement appelé OpenKnit). Le concept a séduit un accélérateur de startups chinois qui a aidé à développer l'idée. Aujourd'hui, la machine est presque prête et a déjà réussi, grâce à une campagne de crowdfunding, à réunir l'argent nécessaire pour lancer une production à grande échelle.
Pouvant combiner jusqu'à six fils de différentes couleurs et même de différentes matières, Kniterate permet de réaliser des pulls, des cravates et même des doublures de chaussures. Pour l'utiliser, il suffit de créer un motif ou de choisir un modèle prêt à l'emploi publié sur l'application de la machine.
L'objectif des créateurs est qu'en automatisant la partie production, les parties prenantes puissent se concentrer sur la partie créative. Ils espèrent également que les utilisateurs pourront partager leurs dessins grâce à l'application et s'entraider.
Voir également: La mouche des toilettes recycle la matière organique et empêche les drains de se boucher.La machine prend environ trois heures pour produire une pièce. Gerard et son partenaire utiliseront donc une partie de l'argent récolté pour améliorer la machine. Kniterate avant de commencer la production à grande échelle, les premières livraisons étant attendues pour avril 2018.
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Toutes les photos © Kniterate